M. Legault, on veut notre graduation!
M. Legault, on veut notre graduation! Monsieur Legault, Vous rappelez-vous de votre cérémonie de graduation? Probablement que vous étiez avec […]
M. Legault, on veut notre graduation! Monsieur Legault, Vous rappelez-vous de votre cérémonie de graduation? Probablement que vous étiez avec […]
Situation de gestion de classe classique pour un enseignant au secondaire : les élèves sont divisés en petits groupes pour un travail d’équipe. Dans cette classe se trouve Nathan. Nathan est un élève provocateur qui est très sournois et qui aime provoquer les autres pour les faire réagir. Aujourd’hui, il a choisi Jacob comme cible, un élève sportif au caractère bouillant. Nathan ne cesse de provoquer Jacob à votre insu, en lui envoyant des pointes, en lui lançant des bouts de papiers, en le dérangeant. Arrive alors ce qui doit arriver : Jacob pète les plombs. Il se met à engueuler Nathan en le menaçant physiquement et s’attaque au projet de son équipe. Ses coéquipiers décident même de vouloir s’en mêler et encourager Jacob à régler le compte de Nathan.
Depuis des années dans le monde de l’éducation se vit une crise sans précédent. Une crise qui se caractérise par le manque de main-d’œuvre. Je tiens à le préciser d’entrer de jeux : je ne parle pas seulement des enseignant.e.s ou d’enseignant.e.s spécialistes. J’aimerai aussi que l’on parle de nos collègues, qui donnent d’excellents services aux élèves, sans qui notre enseignement ne serait pas le même. Je vais prendre le temps de les nommer : les psychoéducateurs, les techniciens en éducation spécialisée, les psychologues, les surveillants d’élèves, les orthopédagogues, les orthophonistes, les préposées aux élèves handicapés ainsi que tous les autres quarts de métiers des services professionnels et de soutien offrant des services à nos élèves. J’en profite pour saluer mes amies proches qui en sont.
Montréal croule sous le fléau des rénovictions et de la montée des loyers hors de prix. Mais selon François Legault, on peut trouver des loyers à 500$ et il n’y a pas de crise du logement. On peut également parler de son soutien inconditionnel à son ministre de l’Éducation, la même semaine où on reçoit de nouvelles preuves que ce dernier a menti au public. La même semaine qu’on apprend que, alors que les écoles tombent en ruine, des millions seront investis pour de nouvelles enseignes, décision qui découle de la transformation des « Commissions scolaires » en « Centre de services scolaires » par ce gouvernement qui clame avoir l’éducation comme priorité.
C’était un cours de musique ordinaire, avec un groupe régulier. Rien d’extraordinaire prévu à l’horaire cette journée.
Tom au Qatar Deviens supporteur de Jonathan le Prof ** Ce texte sur le non respect des droits humains au Qatar est […]
Le 16 avril, l’initiative « Liberté d’oppression » était lancée par une poignée de personnalités politiques et publiques avec pour but de militer pour l’assainissement du climat médiatique au Québec. Depuis, en plus de l’habituel déchirage de chemises de nos animateurs des radios de Québec, nous avons eu droit à une première page irrespectueuse remplie d’amalgames de la part du journal le plus lu au Québec concernant le variant « indien ».
Gauche ou droite, noir ou blanc, chaud ou froid, pour ou contre. L’important, c’est de prendre posture, c’est rassurant. Quoi de plus inconfortable que l’incertitude du présent, d’un futur proche ou même d’un futur plus que loin d’être parfait. Oui, non et pourquoi, vous avez une heure.
Le Québec est l’un des rares endroits en Amérique du Nord où le français est la langue de la communauté. Cette unicité offre un certain charme à mon « chez moi ». Je suis particulièrement honoré de pouvoir discuter et écrire en français. Est-ce pour cela que j’étudie en enseignement du français ? Peut-être. Toutefois, cet héritage se perd tranquillement. L’anglais étant la langue universelle, elle prédomine dans le monde et prend de l’ampleur au Québec. Je n’ai rien contre cette langue, puisque le monde du jeu vidéo est constitué d’anglophones en grande partie et que j’écoute une partie de ma musique en anglais. En revanche, je trouve dommage qu’une partie de notre histoire disparaisse comme cela.
Les parents d’Amélia ont dit que les profs allaient faire la grève. Son père ne comprend pas que des profs puissent les prendre en otage de la sorte. Et puis, ses parents estiment qu’Amélia a assez de retard comme ça à l’école.