Que restera-t-il de nos enfants ?
Que restera-t-il de nos enfants ? Deviens supporteur de Jonathan le Prof * Ce texte sur le rapport de la commission sur le […]
Que restera-t-il de nos enfants ? Deviens supporteur de Jonathan le Prof * Ce texte sur le rapport de la commission sur le […]
La récente vague de féminicides au Québec ne laisse personne indifférent, et avec raison ! Je suis la première à être révoltée. Malheureusement, le dernier drame de Sainte-Croix vient de nous allumer des lumières rouges foncées. Je trouve déplorable que cet enjeu ne soit pas pris plus au sérieux. Par contre, les récents propos de la ministre Guilbault m’ont laissé de marbre. Franchement, c’est à n’y rien comprendre.
Depuis quelques semaines, nous semblons de plus en plus approcher de l’après-pandémie, cette période tant attendue par le Québec en entier. J’aimerais vraiment que nous prenions une pause pendant trente secondes pour réfléchir un peu.
Je ne sais pas si vous êtes d’accord avec moi, mais personnellement la pandémie a bouleversé l’entièreté de ma vie. Les remises en question ont été nombreuses dans les 15 derniers mois. La société ne change pas suffisamment rapidement à mon goût.
Le rôle de gouverneur général est un poste clé de l’administration du territoire colonial français et britannique depuis les années 1600. Ne pouvant être présent physiquement dans chacune de ses colonies, le monarque nomme donc un gouverneur général pour le représenter. Nommé gouverneur de la Nouvelle-France en 1627, Samuel de Champlain a été le premier des 18 gouverneurs français qui ont dirigé la colonie jusqu’en 1760.
La petite communauté de Lytton en Colombie-Britannique est un endroit comme il y en a beaucoup au Canada. Un petit village isolé, sans histoire et surtout méconnu de la majorité d’entre nous. Avec à peine 1000 habitants, le village tranquille n’avait jamais fait les manchettes nationales, et encore moins internationales. Les choses ont malheureusement changé il y a quelques jours.
Comme beaucoup de nos semblables, il nous est probablement arrivé au cours des derniers mois de pandémie de ressentir de la peur et de l’anxiété devant un ennemi nouveau et invisible, face au risque d’être malade et peut-être même de mourir ou simplement en pensant qu’on pourrait transmettre sans le vouloir le maudit virus. On a sûrement aussi été agacé, dérangé, déstabilisé par suite des mesures qui ont mis à mal nos habitudes de vie, nos habitudes d’être en relation avec les gens autour de nous.
200 jours plus tard…
Enfin.
Nous y sommes.
L’année scolaire 2020-2021 est officiellement terminée.
Et quelle année nous avons vécue. Elle a été de loin l’année la plus rocambolesque et chaotique de ma carrière.
Mais elle est maintenant terminée.
Plusieurs d’entre vous se questionnent certainement sur ce qui est en train de se passer un peu partout dans notre pays. Certains se demandent : c’est quoi ça les pensionnats autochtones ? C’est normal. Quand j’étais élève au secondaire, on ne m’en a jamais parlé et pour cause. Nous mentionnons l’existence de ces établissements que depuis quelques années dans les établissements scolaires québécois. L’actualité des dernières semaines vous explique pourquoi un tel silence. n silence, une honte nationale, qui aura duré près de 150 ans. 150 ans d’hypocrisie, de malaise, de saleté indescriptible auxquels nous devons aujourd’hui répondre. Tout débute au lendemain de la confédération en 1867. Nous nous affranchissons, en partie, de la Grande-Bretagne en devenant l’un de ses dominions.
L’Amérique centrale et du sud ont connu beaucoup de régimes différents et beaucoup de tensions au fil de son histoire. En effet, cette tension a été présente pendant la Guerre froide avec la prise de Cuba par Fidel Castro. Ou encore les révolutions menées par Ernesto Guevara, plus connu sous le nom de Che Guevara, dans plusieurs pays d’Amérique du Sud (Baron, 2019, P. 139). Un autre conflit a éclaté dans cette même période tumultueuse pour l’Amérique du Sud. Ainsi, en 1960, une guerre civile éclate au Guatemala et elle se terminera en 1996 (Avocat sans frontière Canada, s.d., P.1). Cette guerre a plusieurs causes et est l’aboutissement de plusieurs années de tensions au sien du pays. Ce texte tentera d’expliquer les causes de la guerre au Guatemala. Il permet ainsi de présenter le contexte politique plus large de l’Amérique latine dans laquelle la guerre au Guatemala a éclaté.
(Avant de m’avancer plus loin dans cette analyse personnelle, je tiens à être transparent : je suis quelqu’un qui adhère à l’idéologie de gauche et cette chronique est purement le fruit d’observations personnelles. Je ne crois pas détenir la vérité absolue et cette analyse m’est personnelle. Toutefois, si elle permet une certaine discussion sur la situation, j’en serai des plus heureux.) On peut trouver plusieurs exemples dans notre histoire récente. Permettez-moi d’en présenter trois.