Ce matin, j’aimerais vous dire encore une fois que ce n’est pas une histoire vraie. Je n’ai pas vécu cette bien triste réalité qui afflige probablement plusieurs d’entre nous autant au primaire qu’au secondaire. Ici, je ne fais aucune distinction parce que la violence envers les enseignants n’appartient à aucun ordre d’enseignement précis. Encore une fois, je vous raconte une triste histoire que je souhaite que personne n’ait vécue. Cette cauchemardesque histoire se déroule dans l’école primaire que j’ai fréquentée, moi-même, lorsque j’étais jeune. Je connais les enseignantes et le personnel non enseignant (TES, psychoéducateur, orthopédagogue, etc.) de l’école.